Aujourd’hui, on ne fabrique plus la ville contre des lieux comme La Bergerie des Malassis, on fait avec. On n’abat plus une trentaine d’arbres, on les protège. On ne prive pas les enfants et les habitants des Malassis à Bagnolet de la Bergerie. Les quartiers populaires payent toujours le pris fort du manque de sensibilité et d’intelligence des projets technocratiques anachroniques. L’histoire se répète, malgré les belles paroles. En banlieue aussi nous sommes attachés à nos paysages et à nos lieux de rencontre. Encore merci à toutes celles et ceux qui étaient là dimanche, merci à notre amie et soutien, Claire Petavy, pour ce petit film qui montre notre détermination et notre goût pour la vie. Et à bientôt pour un futur événement plein de sens et de belles énergies !!!